lundi 3 novembre 2025


Ce “Journal”

J’ai eu plusieurs échanges avec Duncan, de “Sitely”, à propos de l’impossibilité dans laquelle je suis de créer un nouveau blog pour le mois de novembre, comme je l’avais fait pour septembre et octobre, sans résultat. Je lui avais communiqué mon fichier, et il m’a dit avoir pu en créer un, puis deux, sans  difficulté… Mais ici, l’opération demeure impossible. Casse-tête… 

Mais heureusement, cela ne m’empêche pas de poursuivre. Il faudra seulement que je m’inquiète de savoir si je peux indéfiniment créer de nouvelles pages, mais je pense que cela ne dépend que de la place qui m’est allouée sur le  serveur, et donc, pas de problème de  ce côté-là!

Marc m’a signalé ce que j’avais constaté moi-même: il est arrivé, dans le mode “smartPhone” que les images soient mal placées, et chevauchent le texte…Je crois avoir compris pourquoi: je dois faire plus attention à la façon de gérer les “marges” quand je suis en mode “habillage de texte”.


Gazette de Balitrand

Encore dormi très tard. Je me dis parfois que je pourrais dormir toute la journée…mais sans même écrire toute la nuit un ouvrage consacré au temps, malheureusement!

Un peu de courrier ce matin, quand même. Et pour ce “Journal”, j’ai renoncé à la “typo à la française”: j’écris d’abord dans “Pages” en la respectant soigneusement, mais à la fin je copie-colle ça dans les pages de “blog” de “Sitely”, et tant pis pour les insécables devant ponctuation… Je ne cesserai jamais de protester contre cette dictature anglo-saxonne en matière de typographie! Mais je ne vois pas comment faire autrement si ce n’est fabriquer artificiellement un “blog” avec des pages séparées en HTML,  et un sommaire “inversé”, comme autrefois…Mais est-ce bien la peine, pour des textes qui ne sont pas destinés à demeurer longtemps, et que je conserve par ailleurs sous forme de “livres”? je ne le crois pas, finalement.


Dans “l’Atelier”

Mireille m’a aidé à transporter tout mon matériel. Pour simplifier les choses, et que je puisse m’installer là facilement, le mieux serait que j’achète un deuxième bloc de charge, une deuxième “souris”…et que je n’aie plus qu’à emmener le “MacBookAir”, ce qui n’est rien.

Pour le chauffage…rien de tel que le radiateur électrique! les deux radiateurs “à eau” ne sont bons que pour maintenir une température minimale… Les réduire et les augmenter n’est pas la bonne solution: leur efficacité est très lente à se faire sentir, alors que si je mets en route le radiateur électrique, il fait bon là où je suis installé en quelques minutes… Les laisser “ouverts” en grand constamment serait bien trop dispendieux, certainement… 

J’ai toujours pensé que le “chauffage central” était une technique obsolète…surtout depuis que les problèmes internationaux d’approvisionnement en gaz sont un problème, et qu’il ne sera probablement jamais résolu pour que le tarif du m³ redevienne ce qu’il a pu être.

Dans une maison comme la nôtre, c’est une stupidité de faire fonctionner une grosse chaudière et de fermer les  radiateurs des pièces où nous n’allons pas comme celles d’en haut! D’autant que, que dans le salon où j’ai mon bureau, j’ai à côté de moi un radiateur électrique, que je mets en route quand j’ai froid, et éteins quand j’ai assez chaud! Même si, à l’autre bout de la pièce, il y a parfois plusieurs degrés de différence…

Malheureusement, faire enlever la chaudière, les radiateurs et toute leur tuyauterie pour les remplacer par des radiateurs électriques nous coûterait une fortune! Il est trop tard, maintenant, pour faire un changement aussi radical… Et le mieux est encore que j’achète un autre radiateur comme celui que j’ai près de mon bureau, pour le mettre dans “l’Atelier”.


Voltaire

Sur l’Ancien Testament, je vois qu’il s’était amusé, comme je l’avais fait un peu moi-même, à relever toutes sortes de  contradictions comme celles à propos de l’âge d’Abraham… Ou à propos des affirmations concernant les nombres d’enfants de celle-ci ou celle-là…

Sur la Palestine, centre des atrocités du monde de nos jours…voilà ce qu’il nous dit:

[Des] critiques demandent comment Dieu a pu promettre ce pays immense, que les Juifs n’ont jamais possédé, et comment Dieu a pu leur donner à tout jamais la petite partie de la Palestine dont ils sont chassés depuis si longtemps.

Mais il est plus drôle quand il se moque des récits de batailles …

le bras de Dieu n’était point raccourci. Voyez Gédéon, qui, avec trois cents hommes armés de trois cents cruches et de trois cents lampes, défait une armée entière. Voyez Samson, qui tue seul mille Philistins à coups de mâchoire d’âne.

Et d’en conclure, narquois:

Ces digressions amusent celui qui les fait, et quelquefois celui qui les lit.

Pas mal dit.

Mais dans la partie suivante, je note son antisémitisme, qui n’a rien de surprenant d’ailleurs, à l’époque où le peuple juif était encore considéré comme “déicide”…

[Les] Juifs, nos maîtres et nos ennemis, que nous croyons et que nous détestons,

Voltaire passe en revue toutes les curiosités (pour le dire gentiment) que l’on peut trouver dans l’Ancien Testament, et notamment dans la Genèse. Parfois, il lui suffit de rappeler ce qui est dit: séparé du reste, cela produit “son effet”!

La jeune Sara avait quatre-vingt-dix ans quand Dieu lui promit qu’Abraham, qui en avait alors cent soixante, lui ferait un enfant dans l’année.

Et de continuer ainsi…pendant des pages et des pages. Ce n’est pas “le Voltaire” que je préfère, tout de même.