jeudi 18 septembre 2025
Gazette de Balitrand
Vers 10h, M. Laussel est venu pour poser la tringle et mettre les rideaux qui manquaient à la première fenêtre de “l’Atelier”. Ce fut vite fait et bien fait…
J’en ai profité pour lui faire poser une petite poignée à l’entrée de la maison, bien pratique pour moi qui passe toujours par là, parce que c’est plus court que de passer par terrasse et le jardin. Et il m’a aidé aussi, pendant qu’on y était, à installer la trottinette à l’arrière de la voiture. Puisque nous partons samedi, voilà qui sera déjà fait.
Ce M. Laussel est précieux pour nous, pour toutes ces petites choses que je ne peux plus faire moi-même… J’en ai pris mon parti, mais ce n’a pas été si facile d’accepter cette déchéance. Je peux encore “bricoler”, mais à condition de ne pas avoir trop à me déplacer…et si j’ai conservé certains outils, je n’ai toujours pas racheté d’établi, je n’ai même pas un étau, et je ne suis plus très sûr qu’il vaille la peine de de racheter tout ce que j’avais à Pernon, et que j’ai laissé pour trois francs six sous à nos acheteurs, pensant qu’à Bordeaux, en appartement, je ne bricolerai plus du tout… ce qui fut bien le cas, mais je ne pensais pas, à ce moment-là, que nous irions nous réinstaller dans une maison! Et qui dit maison, dit petits travaux sans cesse, une fois terminé les “grands”!
Après M. Laussel, en début d’après-midi ce fut l’arrivée d’un responsable de l’entreprise “Fabre-Frères”, choisi par la “MAIF” pour faire les travaux de rénovation à la suite de nos “dégâts des eaux”. Mais j’ai laissé Mireille s’occuper de cela, pour pouvoir tapoter un peu… L’homme était très aimable et même un peu bavard comme sont les…millavois!
Journée-castagne ?
J’ai fort peu apprécié la déclaration de Re-Taïau-Taïau! disant qu’on «attendait » plusieurs milliers de “Black-Blocs”. Au lieu de les attendre, on aurait peut-être mieux fait de les interpeller dès leur arrivée, puisque tout le monde dit maintenant qu’ils sont connus des “services de police ?
Vers la fin du mouvement “Gilets jaunes”, le surnommé “Castagner” avait su arrêter préventivement plusieurs des dirigeants improvisés de ce mouvement… Pourquoi son remplaçant actuel ne le fait-il pas, au lieu de nous asséner des propos destinés à faire peu ?
Et aux informations de “Céniouze”, vers 13 heures, les reporters envoyés un peu partout n’avaient pas encore grand-chose à se mettre sous le micro. Il faut attendre ce soir, paraît-il…
Gazette de Balitrand
Vers 10h, M. Laussel est venu pour poser la tringle et mettre les rideaux qui manquaient à la première fenêtre de “l’Atelier”. Ce fut vite fait et bien fait…
J’en ai profité pour lui faire poser une petite poignée à l’entrée de la maison, bien pratique pour moi qui passe toujours par là, parce que c’est plus court que de passer par terrasse et le jardin. Et il m’a aidé aussi, pendant qu’on y était, à installer la trottinette à l’arrière de la voiture. Puisque nous partons samedi, voilà qui sera déjà fait.
Ce M. Laussel est précieux pour nous, pour toutes ces petites choses que je ne peux plus faire moi-même… J’en ai pris mon parti, mais ce n’a pas été si facile d’accepter cette déchéance. Je peux encore “bricoler”, mais à condition de ne pas avoir trop à me déplacer…et si j’ai conservé certains outils, je n’ai toujours pas racheté d’établi, je n’ai même pas un étau, et je ne suis plus très sûr qu’il vaille la peine de de racheter tout ce que j’avais à Pernon, et que j’ai laissé pour trois francs six sous à nos acheteurs, pensant qu’à Bordeaux, en appartement, je ne bricolerai plus du tout… ce qui fut bien le cas, mais je ne pensais pas, à ce moment-là, que nous irions nous réinstaller dans une maison! Et qui dit maison, dit petits travaux sans cesse, une fois terminé les “grands” !
Après M. Laussel, en début d’après-midi ce fut l’arrivée d’un responsable de l’entreprise “Fabre-Frères”, choisi par la “MAIF” pour faire les travaux de rénovation à la suite de nos “dégâts des eaux”. Mais j’ai laissé Mireille s’occuper de cela, pour pouvoir tapoter un peu… L’homme était très aimable et même un peu bavard comme sont les…millavois !
