dimanche 19 octobre 2025
Gazette de Balitrand
10 heures : soleil et nuages alternent. 12° au dehors. Dormi plus longtemps cette nuit mais toujours par morceaux.
Toujours impossible de supprimer mon “domaine” chez “Hosting.com”. Ils m’ont écrit qu’ils allaient m’aider à résoudre cela… mais cela risque d’être compliqué” et assez long… je suis tenté de laisser ça de côté, puisque je n’ai rien à régler d’ici un an, et que c’est seulement de l’ordre d’une vingtaine d’euros… mais je vais le faire quand même.
La comtoise
Elle est maintenant en avance de vingt minutes ! Mais comme nous sommes dimanche, et que c’est le moment de la remonter… J’en ai profité pour démonter sa façade, et donner 3 tours à l’écrou sous la lentille, pour en ralentir le mouvement. Et j’attendrai mardi qu’on me livre le “Mirror’ que j’ai commandé pour astiquer la lentille, avant de la remonter, car c’est une opération un peu délicate, M. Mazure ayant dû utiliser ce qu’il a pu trouver dans “l’Atelier”, à défaut de véritable charnière d’origine.
Tocqueville
Je poursuis, et je trouve ceci, qui mérite d’être noté, je crois :
Le gouvernement démocratique, qui se fonde sur une idée si simple et si naturelle, suppose toujours, cependant, l’existence d’une société très civilisée et très savante. (ibid.)
Cela correspond à ce que, pour ma part, j’ai toujours pensé : la démocratie ne peut fonctionner que si le “peuple” est éduqué, et conscient de ce que représente la citoyenneté. Aujourd’hui, en France, où l’on attribue cette citoyenneté à n’importe qui, pour la simple raison qu’il est né sur le sol de France, cela pouvait se comprendre à une époque “normale”, où les seuls immigrants étaient des gens très éduqués fuyant des régimes dictatoriaux, comme ce fut le cas par exemple, de beaucoup de russes dans les années 20 du siècle dernier. Naturalisés ou pas, leurs enfants devenaient français par le droit du sol. Mais ce n’est absolument plus la même chose maintenant ! 99% des immigrants viennent chez nous parce qu’on leur a dit qu’ils y vivraient mieux que dans leur pays, et c’est le cas, même sous des abris de fortune sous le métro… Et ils ne savent rien de ce qu’est la France, de ce que sont les Français, ils n’ont aucune connaissance de notre culture, et la plupart, même, ne souhaitent nullement s’y intéresser ! Leurs enfants seront français. Ils voteront… et éliront bien sûr leurs congénères , ou ceux qui les flattent pour obtenir leurs voix, comme le fait LFI… Leurs “grands-frères” sont déjà partout, dans tous les rouages de l’État, et dans quelques années, car le mouvement va s’accélérant, ils seront majoritaires dans toutes assemblées élues, de la commune de province à l’Assemblée nationale ! Ils pourront nous imposer leur charia, leurs règles de vie, leur justice… Et tout cela, démocratiquement !
Au concert
Nous y sommes allés comme la dernière fois, à vélo et trottinette : cela m’évite de marcher, car en voiture, le risque était que Mireille ne puisse me déposer devant l’entrée avant de trouver à se garer. Nous étions en avance, mais peut-être pas encore assez, car nous n’avons pu nous installer qu’au premier tiers de la nef. Mais j’ai tout de même eu largement le temps de (re)faire quelques photos :
Mais autant cette église est belle et intéressante à l’intérieur surtout, autant le concert fut, pour moi du moins, décevant. D’abord dans le choix du répertoire, que j’avais soigneusement repéré et écouté auparavant…. Des pièces détachées de leur contexte, et pas des meilleures. En les écoutant sur ma chaîne, j’avais repéré au moins le dernier morceau, qui avait une certaine allure… il est passé ici presque inaperçu. De là où nous étions, nous ne pouvions voir que difficilement le chef, et encore moins le pianiste, destiné à “meubler” un peu avec quelques intermezzi très peu audibles : un piano dans un tel environnement… le son allait se perdre sous les voûtes…
Quand à l’exécution, je n’en jugerai pas dans le détail, mais cela m’a donné l’impression de quelque chose de confus… Quelques rares et belles envolées, mais les aiguës souffrent de réverbération, en cet endroit, et manifestement aucun personnel technique n’a étudié la question auparavant !
Des “ensembles” locaux comme celui-là, de Montpellier, ne vivent qu’en parcourant les églises des localités moyennes… et n’ont pas, manifestement, de personnel qualifié pour préparer matériellement leurs concerts. Et sur le plan des oeuvres, ils n’ont pas non plus les choristes et solistes suffisamment qualifiés pour s’attaquer aux “grandes oeuvres…
Bref, je me suis dit qu’on ne m’y reprendrai plus. La fois précédente, c’était tout autre chose : le “Requiem” de Fauré… et nous n’avions pas été déçus !