samedi 25 octobre 2025
Corrections
Levé assez tard ; temps toujours très vilain.
J’avais ruminé cela hier soir et je m’y suis mis ce matin :
1 - Re-corriger le tome I de mon “Itinéraire”
2 - Relire le début du tome II pour me remettre “dans l’ambiance”…
3 - Reprendre l’écriture de la suite…
J’ai passé toute l”après-midi à venir à bout du point N°1 ! Il y avait encore une bonne vingtaine d’endroits défectueux : ayant ajouté un vers manquant, mes “titres marginaux” se trouvaient décalés, pour une bonne vingtaine d’entre eux… et j’ai dû réparer cela, c'est-à-dire transférer cette indication quelques vers plus haut ou plus bas, et une par une… Plus quelques coquilles véritables, un “s” oublié, ici, un mot en trop là, un vers oublié ici, deux vers à rajouter là…
Pour le Tome II, j’ai pris le parti de copier tout ce que j’avais écrit dans mon “ePubMachine”, pour le remettre dans des pages de “BBEdit”, pour la bonne raison que là, j’ai déjà des routines extrêmement rapides qui me mettent si je le veux les “\\” en bout de ligne des vers… alors que celles que j’avais écrites en “LiveCode”, apparemment ne fonctionnent plus, ou du moins, ne fonctionnent pas dans cette “pile”-là. Plutôt que de la rechercher dans tout ce fatras, j’ai préféré utiliser les “expressions rationnelles” de “BBEdit”.
Ce n’est donc, en fin de compte, que demain que je vais pouvoir commencer à me remettre “dans le coup”, et écrire au moins quelques vers. À partir du vers 1529 du Tome II (le Tome I fait 8625 vers !)
Je vais écrire maintenant dans “BBEdit”, plutôt qu’avec “LiveCode”. C’est plus sûr… Mon “ePubMachine” est vraiment en bout de course… et je ne peux plus trop m’y fier, sauf à remettre les mains dans le cambouis pendant plusieurs jours… et je n’en ai plus envie. L’essentiel est d’avoir récupéré tout ce qui y figurait déjà, avant que je n’y aie plus accès.
Gazette de Balitrand
Pas grand-chose d’autre à signaler. Je n’ai pratiquement pas mis le nez dehors. Mireille est allée à pied jusqu’au Mandarous pour y faire quelques courses, et elle est vitre rentrée.
Le repas aux “Mazes” en l’honneur (tardif !) de l’anniversaire de Jean-Pierre, qui était prévu pour demain est remis sine die, à cause du mauvais temps mais aussi des douleurs de genou d’Annick. Ma foi, tant mieux.
Hier soir, très tard, j’ai regardé le film de Rohmer “L’arbre, le Maire et la médiathèque” (1993). Un film curieux, très long (plus de 2h), qui pourrait être “projeté à la radio” dirais-je, tant c’est le discours qui compte et où l’image n’est là que pour “faire joli”, en somme… Le propos lui-même n’est pas inintéressant d’ailleurs, et ne pouvait que me satisfaire : j’ai assez pesté, autrefois, en arrivant à Nantes contre le fait, au bout de quelques mois, d’être privé de l’admirable bibliothèque à l’ancienne au profit d’une “médiathèque”, à la mode du temps ! Celle-ci, une fois achevée après un an de travaux, servait surtout, dans la salle de télévision, à permettre aux SDF de somnoler au chaud devant les écrans… les salles de livres étant remplies de collégiens babillards… et la seule salle dédiée au “Fonds ancien” n’était ouverte que 3 après-midi par semaine… C’est là que j’ai tout de même découvert des choses que la bibliothécaire en chef ne connaissait même pas… le manuscrit Alchimique N° 522, par exemple.